• Poème d’adieu (絶命詩), poème écrit par l’auteur par anticipation de sa propre mort. Au Japon, c’est une tradition pour les intellectuels.
  • Dodoitsu (都 々 逸), développée à la fin de la période Edo (1603 – 1868) puis devenu un style de chanson populaire, transmise oralement et accompagnée du Shamisen, un instrument à trois cordes. Il se compose de quatre vers de structure 7-7-7-5.
  • Gogyōka (五行歌, litt. « poème de cinq lignes »), créé dans les année 1950 par Enta Kusakabe  (草壁 焔太). Pour se libérer des contraintes du tanka, le gogyōka ne requiert pas un nombre spécifique de syllabes dans ses vers. L’unique contrainte est qu’il doit comporter cinq vers comme le tanka, d’où son appellation. 
  • Imayō (今様), abréviation de Imayō-uta, litt. « Chansons à la façon moderne« , est un genre poétique populaire sous forme de chanson qui se développe au début de l’époque de Heian (794 – 1192) à partir des kansan Bouddhistes chinois, puis des wasan japonais. Composé de 8 à 12 vers, soit deux demi-vers avec alternance de 7 et 5 mores.
  • Iroha (いろは歌), abréviation de Iroha-uta, litt. « Chant de l’Iroha » est la traduction japonaise d’un hymne du Sūtra du Nirvāna. Son apparition d’après les linguistes est ultérieure au XIe siècle. Longtemps utilisé pour l’apprentissage des kanas, il fut remplacé par le goinzu (tableau de cinq sons) puis par le gojūonzu (tableau des cinquante sons) durant l’époque Edo. Il est maintenant utilisé pour l’initiation à la calligraphie et pour la lecture des notes, et sert parfois de classement.
  • Kyōka (狂歌, litt. « poésie folle« ) est une forme proche du waka comique qui fût prisé pendant l’époque Edo. Les règles sont plus libres en mores, en rimes et en langage. Ce style accepte les mots chinois et les mots vulgaires. Les styles comprends la satire, la parodie, le grivois, le burlesque, le calembour et même le non sens.
  • Kyōshi (狂詩 – fin du XVIIe siècle), forme mineure qui n’emploie que des caractères chinois.
  • Renshi, forme moderne de vers de poésie collaborative.
  • Ryūka (琉 歌lit. « chanson / poème Ryūkyū« ), est un genre de chanson et de poésie originaire des îles Okinawa, écrites dans les formes Ryukyuan des langues japoniques.
  • Shigin (詩吟), poésie récitée ou chantée par un chanteur seul ou un groupe, en chinois ou en japonais, avec ou sans public. Les poèmes sont appelés gin (吟) et sont composés de quatre lignes, parfois plus de kanji (漢字 – caractère chinois).
  • Yukar (ユーカ), sagas Aïnoues. Forme de poésie épique et orale, qui prend son origine dans la longue et riche tradition orale des Aïnous. Dans les périodes anciennes, la narration était réalisée par des hommes et des femmes.
  • Zappai, forme dérivé du haïkai dont la définition serrait : « Tous les types de poèmes de dix-sept syllabes qui n’ont pas les caractéristiques formelles ou techniques du haïku ».